- +33 1 56 90 03 43
- cabinet.shalvi@gmail.com
- Lundi - Vendredi : 9h30 - 18h00
L’augmentation mammaire est une intervention chirurgicale qui permet de retrouver une harmonie de la silhouette, en créant un équilibre entre la poitrine et les autres régions du corps en particulier avec « la générosité des hanches ». Beaucoup de patientes me racontent que leur augmentation mammaire a « fait fondre leurs hanches et leur petit bidou » par l’harmonisation retrouvée avec une augmentation mammaire. Je vous invite à lire le témoignage de « Anouchka » . Il est si émouvant : une jeune femme que ses camarades d’école traite de « bouteille d’Orangina « que j’opère à la veille de l’essayage de sa robe de mariée ! et même maman qui ne croyait pas à son mal-être, découvre combien il était profond.
Il y a aussi les femmes qui ont une grossesse « agressive » avec leur corps, les seins ont fondu le ventre est fripé et les kilos ne sont pas là où il faudrait ! C’est elle-même après une augmentation mammaire qui me disent « depuis que j’ai retrouvé des seins, j’ai retrouvé une certaine féminité, plus sensuelles et glamour, je vois beaucoup moins ces petits « dommage de la maternité » : je les accepte mieux ils font partie de ma vie de femme et maintenant de mère. C’est bien toujours une question d’harmonie.
De même quand arrive « l’orage de la ménopause », je perds encore mes seins ils tombent je ne les aime plus mais il y aussi mon ventre docteur et mes hanches et mes cuisses !! Et là aussi la magie des seins réopère et redonne une harmonie à la silhouette. Les interventions seront parfois différentes et nous y reviendrons. À 60 ans nous n’avons pas forcément envie de seins généreux mais plus de sein plus discret plus faciles à vivre au quotidien et qui allègent la silhouette qui s’est parfois un peu tassée avec le temps et les épreuves de la vie.
L’augmentation mammaire par prothèses, ou mammoplastie d’augmentation, est une intervention chirurgicale visant à augmenter le volume des seins et aussi modifier quand cela est possible leur forme et leur projection. Cette procédure peut être réalisée pour diverses raisons, allant du désir d’améliorer l’esthétique de sa poitrine depuis son adolescence ou après des grossesses et aussi après un amaigrissement important. De plus, il y a aussi les petites malformation dites « seins tubéreux, thorax en entonnoir et asymétrie mammaire » qui font aussi beaucoup de désagrément du quotidien. Et puis il y a la maladie qui a nécessité une ablation de ce sein mais pour qui on peut aujourd’hui, et ce depuis plus de 30 ans, proposer une reconstruction mammaire.
Les techniques varient, se complètent et se conjuguent de façon différente, mais les plus courantes impliquent l’insertion de prothèses mammaires, des techniques de plasties mammaires pour la peau et enfin le lipofilling (transfert de graisse).
La décision de bénéficier d’une augmentation mammaire ne doit pas être prise à la légère. Il est essentiel que patientes soient en bonne santé, aient SURTOUT des attentes réalistes et comprennent les risques potentiels associés à l’intervention.
Il faut pour cette intervention que vous soyez en bonne santé et que sur le plan psychologique, vous ayez des attentes réalistes quant aux résultats possibles. Il faut que ce soit une décision prise par vous-même, jamais par l’entourage, même le plus bienveillant qui soit.
Ne jamais se faire opérer après un grand chagrin d’amour ou une dans l’immédiateté d’une épreuve de vie bouleversante. Il y a le temps de l’émotion vive puis vient le temps de la réflexion plus objective et enfin la sérénité pour être opérée.
Certaines conditions médicales, comme des troubles de la coagulation ou une mauvaise cicatrisation, peuvent constituer des contre-indications à l’augmentation mammaire. De même, le tabagisme peut affecter négativement le processus de guérison et augmenter le risque de complications post-opératoires. Il est donc crucial d’avoir une discussion ouverte et honnête avec votre chirurgien à propos de votre historique médical et de vos habitudes de vie.
Et enfin, toute lésion atypique du sein en mammo-échographie devient prioritaire sur tout geste esthétique du sein.
Le choix de la prothèse est une décision cruciale qui influence le résultat final. Il est basé sur une évaluation minutieuse de votre anatomie (largeur de la poitrine, distance entre le bord inferieure de l’aréole et du sillon sous mammaire, de la qualité de la peau, de la quantité de tissu mammaire existant et aussi de votre silhouette) et une compréhension claire de vos attentes. IL s’agit finalement d’une équation complexe et pour laquelle mes 25 ans d’expérience sur cette hyperspecialité me rendent bien service !!
L’objectif est d’atteindre un résultat harmonieux et proportionné à votre silhouette selon vos désirs.
Aussi sur les photos « avant -après », j’ai essayé de vous mettre les références des prothèses pour vous aider à vous projeter, mais c’est bien à ma consultation que nous travaillerons sur ce sujet essentiel.
En résumé je dirais qu’il faut conjuguer profil et volume ensemble !
Il y a les profils moyens pour la majorité d’entre vous et dans les profils moyens on a le Moyen-Simple ou le Moyen-Haut en fonction de la base du sein et du bonnet voulu avec des volumes allant de 250 à 350 cc.
Il y a celles qui veulent un vrai décolleté pigeonnant, volumineux assumé et visible et là je choisis une prothèse Profil « Haut » XP et « très Haut » XXP avec des volumes allant de 340 à plus !
Et il y a aussi les patientes qui ont un petit thorax (de 75 à 85 de tour de dos) et là on DOIT respecter la base du sein et la reporter sur le choix de la prothèse et son volume et je choisis plutôt des 230-275 cc).
Encore une fois nous examinerons ensemble vos idées vos images et votre morphologie pour s’adapter au plus près de vos désidératas.
Il y a aussi la technique avec « les grains de riz « dans un sac pour tenter d’estimer le volume en centimètre cube de la prothèse que vous désirez et ainsi vous projeter.
En partant du principe que 200cc de riz dans un sac peuvent correspondent à 200 cc d’une prothèse ! (Mais évidemment ces « centimètres cubes » ne donnent pas la forme de la prothèse c’est à dire le profil haut-bas-moyen).
Ainsi dans deux sacs en plastique type congélation mettre le volume de riz de 400 cc de chaque côté puis le placer dans le soutien-gorge et voir dans le miroir puis enlever tous les 50 cc jusqu’au résultat voulu. Une différence se voit à partir de 50 cc au minimum.
Il faut bien placer ces sacs dans un soutien-gorge de sport souple ou dans une brassière pour permettre au riz dans le sac de prendre sa place autour de votre sein ! Cet exercice peut vous guider mais ne remplacer pas notre consultation à laquelle j’attache beaucoup d’importance.
Vous y viendrez avec un soutien-gorge souple ou brassière et surtout de couleur blanche (le noir efface tout) et un teeshirt blanc là aussi un peu moulant et nous essayerons ensemble des prothèses. Il y a aussi l’analyse des photos de ce dont vous avez envie.
Ce travail ensemble est important car il vous permet de faire « le chemin » vers votre nouvelle silhouette dans les jours qui précèdent l’intervention. Et ainsi mieux vous préparer à votre nouveau « moi » ! sinon le réveil pourrait être brutal
Avant l’intervention, vous rencontrez l’anesthésiste qui va prendre en compte vos antécédents chirurgicaux, vos traitements anciens et en cours. Et il vous prescrira une prise de sang.
Pour ma part en fonction de votre âge et de vos antécédents personnels et familiaux, je demande une échographie complétée plus ou moins d’une mammographie. Ce bilan radiologique est essentiel, datant de moins d’un an, car toute lésion mammaire deviendrait prioritaire sur le geste esthétique Cette étape est incontournable pour préparer votre intervention.
Le jour de l’intervention nous nous retrouvons au bloc. Après vérification de votre identité par moi-même et toute mon équipe je dessine sur vous « le patron de couture « et nous pouvons reparler des décisions que nous avons prises ensemble, en particulier la taille de votre futur bonnet.
Puis l’anesthésiste vient contrôler votre état et vous endort.
Je vous opère en position semi assise (en position semi allongée, comme à la plage, les seins sont tous identiques et surtout étalés) alors qu’ils « se révèlent » en position semi assise. Je vous installe avec les bras le long du corps pour ne pas modifier la position physiologique du sillon sous mammaire et surtout pour poser les implants tel que vous les retrouverez dans le miroir le soir même. Il ne faut pas croire les émissions de TV où les patientes sont installées les « bras en croix », qui déforment le sillon sous mammaire, qui tendent le muscle pectoral et qui surtout remontent « artificiellement les prothèses « sous les oreilles » !!
En outre cette position permet des suites opératoires beaucoup plus simples car vous n’aurez jamais besoin de porter un soutien-gorge de contention, serré avec une bande scratch pour soi-disant « descendre les prothèses » !
Et de plus cette position semi assise me permet de vous avoir droite telle que vous serez fière de votre nouvelle silhouette devant votre miroir.
Je fais-moi même toutes ls sutures et j’aime ce dernier temps opératoire où mon job se termine. J’aime ce moment qui clôt l’intervention.
Les prothèses sont posées soit derrière le tissu mammaire (soit retro glandulaire c’est-à-dire finalement pré- musculaire) ou derrière le muscle pectoral (retro musculaire qui est équivalent à Dual Plan.
Pourquoi Dual Plan ? Le muscle pectoral, muscle de la paroi thoracique, anatomiquement couvre les deux tiers interne et supérieure du sein mais pas la partie inféro- externe. Donc la prothèse est retro musculaire pour le décolleté (ce que l’on recherche le plus ! ) en supéro- interne. Et dans la partie inféro- externe elle est juste retro-glandulaire, zone où existe dans la majorité des cas la glande ou un peu de graisse. Le but étant que cet implant soit le plus dissimulable et que vous puissiez retrouver un décolleté le plus naturel possible et enfin que vous puissiez l’oublier !
En plaçant la prothèse devant le muscle certains chirurgiens se facilitent la vie, c’est plus rapide et plus facile, mais au fil du temps, d’abord à la fonte des œdèmes post chirurgicaux (entre 3 et 6 mois) la prothèse peut déjà se voir avec ses plis dans le décolleté et surtout avec les années la graisse et la glande sous cutanées s’amincissent et là les prothèses se voient encore plus. Je recherche pour vous le résultat le plus discret et le plus naturel pour vous et le plus durable.
La cicatrice dépend de la voie d’abord, c’est à dire de la zone par laquelle le chirurgien va mettre la prothèse. Il faut qu’elle soit discrète mais qu’elle soit suffisamment grande pour laisser passer la prothèse sans l’abîmer et tout en laissant au chirurgien la possibilité de bien voir les petits vaisseaux qui saignent. Aussi en fonction de votre anatomie et de vos désirs nous la choisirons ensemble.
La voie la plus fréquente, dans notre pratique, est la voie hémi-aréolaire inférieure à l’union du brun de l’aréole et du reste de la peau. Elle est extrêmement discrète dès trois mois postopératoires. Celle du sillon sous mammaire décalée en externe dans l’ombre du bras est elle aussi très peu visible puisque dans le pli sous mammaire. En tant que femme je n’aime pas celle qui est dans le sillon pile au milieu, sur l’axe de 6 h, car « tellement au milieu « qu’elle en devient visible une fois allongée ! sur le bord externe elle attire moins le regard ;
Je n’aime pas du tout la cicatrice sous l’aisselle, dites axillaire. Car déjà, le chirurgien est loin de la zone chirurgicale du sein et donc il coagule moins bien les vaisseaux qui saignent. Mais surtout cette zone doit rester vierge, pour si malheureusement comme une femme sur 8 un jour vous faites un cancer du sein, il faut laisser cette zone vierge pour la recherche du ganglion sentinelle. C’est mon expérience de la reconstruction mammaire qui me guide là encore en chirurgie esthétique.
Enfin, pour utiliser cette cicatrice sous le bras, il faut vous installer les bras en croix sur la table d’opération ce qui mets en tension le muscle pectoral et surtout rehausse le sein de façon anormale et nous fait perdre les bons repères. C’est aussi une des raisons pour lesquelles on voit encore trop souvent des femmes opérées avec des prothèses sous la peau (pré pectoral, le muscle tendu ne se laisse pas bien distendre) et trop hautes quasi sous les clavicules ! Une malposition au bloc peut vraiment affecter le résultat final !
Pour encore améliorer vos cicatrices, je vous ai proposé l’option du laser UrgoTouch : en fin d’intervention, vous dormez encore quelques minutes, je garde mes gants, je flashe vos cicatrices à leur tout début de cicatrisation, pour limiter leur inflammation. L’appareil via une cellule photoélectrique me donne l’intensité du laser adapté à votre type de peau et ainsi améliore la qualité en épaisseur et largeur de votre futur cicatrices.
Là encore de vous opérer en position semi assise et la prothèse bien placée sous le muscle pectoral en dual plan, le pansement n’a plus aucune vertu et surtout pas celle de faire descendre les prothèses ou de la contention. Il est juste là pour se poser et « cacher « les cicatrices. Il est donc très léger sans aucun Elastoplast à l’ancienne. Les cicatrices sont juste recouvertes par du micropore. Le retrait du pansement est léger
Le lipofilling commence par le prélèvement de graisse dans une zone donneuse, souvent l’abdomen, les cuisses ou les flancs, via liposuccion. Cette graisse est ensuite traitée et purifiée avant d’être réinjectée dans les seins.
Et il est important de réaliser que la réinjection se fait non pas avec des mottes de graisse dans le sein mais bien avec des cellules qui sont posées cellule par cellule. Cet ensemble de cellules est donc bien dés vascularisés et doit retrouver son « nid vasculaire »
Cette technique permet d’augmenter le volume mammaire d’une demi-taille de bonnet par séance chirurgicale.
Les patientes sont parfois douloureuses les premiers jours, notamment quand les prothèses sont volumineuses et placées derrière le pectoral. Mais cela dure 12 à 36 heures et toute l’équipe est avec vous et a bien l’habitude de vous soigner. L’’anesthésiste en consultation vous expliquera le principe de la pompe à morphine que vous pourrez utiliser si vous le jugez nécessaire. C’est très efficace et surtout c’est vous qui gérez la douleur en appuyant ou pas sur le bouton de la perfusion et ça permet de toujours rester « maitre de soi ». Il n’y a pas d’accoutumance comme certaines le pensent donc soulagez-vous. Mais pour beaucoup d’entre vous, elle n’est pas nécessaire et c’est avec le sourire que je vous retrouve le lendemain.
Oui il y a des gonflements, c’est à dire de l’œdème parfois des bleus (ecchymoses en langage médical) et, gêne en levant le bras sont fréquents.
Pour ma part, depuis 25 ans, je ne fais aucun pansement compressif jamais d’Elastoplast juste quelques compresses. Le lendemain matin une infirmière vous envoie à la douche (les cicatrices sont étanches depuis la sixième heure post opératoire et vous refait un pansement léger avec du micropore, juste collé sur la cicatrice pour que vous ne l’ayez plus sous les yeux. Vous le garderez entre 7 et 10 jours en vous douchant tous les jours. C’est un protocole d’une grande simplicité qui a largement prouvé son efficacité et surtout une extrême tolérance pour les patientes qui l’apprécient beaucoup (son changement est très facile et totalement indolore et donc rassurant) .
La durée de l’hospitalisation varie généralement d’une journée pour une augmentation par prothèses à un séjour encore plus court en ambulatoire pour le changement de prothèses.
La nuit est nécessaire que pour celles qui le veulent mais c’est l’occasion pour chacune d’entre vous de se poser et de profiter de ce moment-là pour digérer le premier temps post opératoire immédiat !
Il faudra porter un soutien-gorge nuit et jour pendant 4 semaines. Mais ce soutien-gorge ne doit surtout pas vous gêner ni vous serrer. Encore une fois c’est au cours de l’intervention en bonne position assise, que nous plaçons les prothèses ce n’est pas le soutien-gorge qui modifie les seins. Il n’est là que pour vous soulager et vous protéger de vos appréhensions !
La plupart du temps, les fils sont internes et résorbables.
Sinon, je les retire à la consultation post-opératoire.
La cicatrice évolue pendant au moins un an. Au départ elle est fine comme je l’ai faite, puis c’est vous qui cicatrisez. La cicatrice atteint un point inflammatoire culminant vers le troisième mois, elle est alors bien rouge. Elle le reste encore six à neuf mois et, enfin, elle blanchit. C’est l’histoire naturelle des cicatrices.
Une cicatrice se juge un an après l’intervention.
La cicatrisation est un phénomène imprévisible et aléatoire : je fais la cicatrice, mais c’est VOUS qui cicatrisez, plus ou moins bien en fonction de la nature de votre peau, des traitements que vous recevez -la radiothérapie nuit à la cicatrisation- et de votre hygiène de vie -le tabac est un très mauvais camarade.
En cas de tabagisme, même passif, la cicatrisation est, en effet, encore plus aléatoire, avec des risques de nécrose et celui d’une cicatrisation beaucoup plus longue. Au final, les cicatrices sont souvent plus rouges, plus inflammatoires. Nous aurons l’occasion d’en parler.
Je fais aussi ma part du job : • Je privilégie les « surjets » -le fil court tout le long et à l’intérieur de la cicatrice, pour être le moins visible possible, comme lorsqu’on coud un ourlet. J’effectue le moins possible de nœuds internes, susceptibles de provoquer des nécroses ou des traces.• J’utilise depuis 20 ans des pansements de type micropore, collés à même la cicatrice. On les garde 5 jours, on se douche, on se sèche, on vit facilement avec eux, sans les enlever et pourtant la cicatrice respire très bien. Le silicone dont sont imprégnés les pansements améliore les facultés de cicatrisation de la peau.
C’est encore un pas vers une belle cicatrice :• J’ai également choisi de recourir à un appareil, nommé Laser Urgotouch. Au bloc opératoire, je finis les sutures ( les « coutures chirurgicales « et juste avant de faire le pansement je « flashe » les cicatrices avec cette pièce à main, guidée par une cellule photoélectrique qui permet d’adapter l’intensité du laser à votre type de peau. C’est indolore pour vous, sans contrainte, sans effet secondaire et sans consultation supplémentaire.
Je l’ai finalement adopté, des mois après l’avoir essayé : alors que je recevais une patiente en consultation, j’ai trouvé que les cicatrices que je lui avais faites étaient vraiment bluffantes, pour soudain me rappeler que j’avais testé, à sa demande, le laser lors de son intervention !
En esthétique il n’y a pas d’arrêt de travail ! mais un arrêt d’activité professionnelle est nécessaire et aussi en fonction de votre métier.
Je recommande cinq jours bien tranquilles et chouchoutés par l’entourage et après une reprise progressive. Nous aurons l’occasion d’en parler à la consultation.
Ce qu’il ne faut pas, c’est conduire (le muscle pectoral opéré serait trop sollicité) et surtout ne pas faire les mouvements du quotidien (ménage repassage déplacements sports etc..) qui peuvent induire des épanchements lymphatiques autour de la prothèse et compromettre l’intervention. En effet il peut devenir nécessaire de retirer précocement les ou la prothèse(s). Le repos est vraiment nécessaire, vous le retrouverez sur ma feuille des conseils de sortie.
Pour le sport, il faut pour protéger la prothèse qui vient d’être posée derrière le muscle pectoral qui lui est fragilisé et sensible et ça sera plutôt 45 jours. Évidemment, la marche à pied est possible plus tôt.
Toutes ces recommandations sont générales et sont modulables en fonction de chacune.
ET un détail qui n’en n’ai pas un : une jeune maman opérée peut toujours prendre son bébé dans les bras, il faut juste quelqu’un pour le lui déposer dans les bras car c’est en se penchant pour l’attraper que son pectoral va lui jouer des tours ! Donc les câlins sont toujours possibles voir indispensables ! pour bébé et maman !
Voici mes différentes vidéos sur le sujet de l’augmentation mammaire:
LUNDI au VENDREDI 9H30-18H00