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Vous êtes nombreuses à me demander de montrer et je comprends qu’il soit important de voir.
Attention toutefois : ce sont des photos pré et post-opératoires.
Il n’y a que vous pour savoir si vous êtes trop sensible pour feuilleter ces albums.
Et n’oubliez pas que chaque personne, chaque intervention est unique.
Florence a eu sa mammectomie avec une cicatrice transversale avec radiothérapie qui sclérose les tissus et bloque l’expansion de la peau. On ne peut pas implanter une prothèse simple. En plaçant le grand dorsal dans le hamac inférieur du sein, comme une pièce de soutien-gorge, on lui restitue son naturel : la reconstruction est devenue possible.
Le sein est souple et l’aréole est reconstruite par tatouage et greffe de mamelon
Double challenge pour Christine Reconstruire son sein à droite et penser à la mastectomie prophylactique du gauche. Pas à pas en trois étapes nous y arriverons.
Le sein droit de profil avec un grand dorsal et prothèse.Le sein gauche avec juste une prothèse sous le pectoral et la peau en reconstruction immédiate prophylactique ( « de prévention » )
En une seule intervention, j’ai reconstruit le sein droit de Marianne et réduit son sein gauche. Marianne a choisi une reconstruction avec prothèse.
Son mamelon gauche a été reconstruit par greffe de l’hémi-mamelon droit et j’ai tatoué la nouvelle aréole.
Quelques mois après son intervention, j’ai reconstruit le sein droit de Sonia par grand dorsal et prothèse à droite. Le sein gauche a été retiré par « précaution », prophylactique, et a été reconstruit immédiatement avec une prothèse seule.
Aurélie avait une peau de la paroi, sans radiothérapie. Elle a choisi une reconstruction par prothèse. Puis j’ai tatoué son mamelon et son aréole.
Avec une peau très souple et sans radiothérapie la reconstruction par prothèse a été possible et jolie Anna ne voulait pas de geste sur son sein droit . Et nous avons du l’imiter au plus près .
Quand le mamelon et l’aréole sont reconstruits.. Ça change tout la prothèse devient sein .
Estelle présente une cicatrice haute, très large et irrégulière avec une paroi très raide. Le lambeau dorsal permet toutefois de lui rendre une poitrine à la hauteur de ses rêves : elle se mariait peu après.
On n’effacera pas sa cicatrice initiale, trop haute pour cela, mais la mariée était très jolie et portait un vrai décolleté
La reconstruction du sein droit de Fanny est l’occasion de lui offrir cette poitrine plus ronde dont elle a toujours eu envie. Mon défi était de lui proposer une reconstruction harmonieuse et douce qui permette de bien cacher sa prothèse de reconstruction. Nous avons choisi ensemble le grand dorsal avec prothèse, complété d’une prothèse rétro-pectorale à gauche.
Le traitement de Julia a débuté par une chimiothérapie suivie d’une mastectomie puis d’une radiothérapie. J’ai apporté la peau saine du grand dorsal afin de galber joliment son nouveau sein. Et nous en avons profité pour glisser une petite prothèse dans le sein gauche.
Malgré la sclérose liée aux rayons, la reconstruction est souple. Julia y gagne de la confiance en soi et l’énergie de dépasser sa maladie.
Maryvonne a choisi une réduction mammaire, 20 ans plus tôt. Depuis, elle a eu un cancer du sein gauche et il a fallu le lui retirer. La paroi est donc « multi-cicatricielle » et difficile à opérer. On peut reconstruire avec la technique du grand dorsal, alors que ce serait impossible par prothèse seule.
Aussi gentille qu’elle est fidèle, Marion est revenue me consulter 12 ans après sa reconstruction. Elle a accepté que je la photographie. Marion ne regrette pas son choix d’une reconstruction par grand dorsal et prothèse, complétée d’une légère augmentation du sein gauche.
Les rondeurs de Maryvonne sont très bien pour masquer la prothèse et avoir une reconstruction naturelle
La première reconstruction de Michelle fut effectuée par prothèse, alors que sa peau avait été très sclérosée et abimée par la radiothérapie. J’ai repris la reconstruction à l’aide de quelques lipofeelings et surtout d’un lambeau de grand dorsal qui nous a donné de la peau saine et ce tombant naturel du sein .
Chez Nicole, le muscle pectoral et la peau sont rétractés. Là encore, la reconstruction, impossible avec une prothèse seule. Mais elle devient possible grâce à la technique du grand dorsal qui apporte de la peau saine . Pour un résultat émouvant au regard des cicatrices initiales.
C’est 6 mois après la fin de la radiothérapie que nous avons reconstruit le sein gauche de Sandra. Les rayons ont aminci la peau de son thorax, c’est pourquoi j’ai opté pour un grand dorsal avec une prothèse. Elle qui aime tant la plage a pu y retourner dès l’été suivant.
Virginie a 40 ans, de jolies formes et de « petites réserves » dorsales. Pour sa reconstruction différée, nous choisissons ensemble le grand dorsal, pour sa souplesse et son naturel.
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