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Vous êtes nombreuses à me demander de montrer et je comprends qu’il soit important de voir.
Attention toutefois : ce sont des photos pré et post-opératoires.
Il n’y a que vous pour savoir si vous êtes trop sensible pour feuilleter ces albums.
Et n’oubliez pas que chaque personne, chaque intervention est unique.
Ses seins ont commencé à poindre en CM2 et quand Clara vient me voir à 17 ans, elle souffre de leur lourdeur, elle souffre tout court.
Sa maman, elle et moi discutons longuement. Elle est encore mineure, nous avons le temps d’aborder tranquillement tous les aspects de son choix et de mon travail.
Nous choisissons de programmer l’intervention tant attendue à la fin de la classe de première,
juste avant les vacances et l’année du Bac. Et sans manquer l’école !
Des seins, pour être jolis et bien portés, doivent être proportionnés jusque dans tous les petits détails. Pour bien avoir tous ces éléments en tête, je laisse les épaules et le bassin de ma patiente, que j’opère semi-assise, bras le long du corps, dans le champ opératoire. Je garde sous les yeux, en permanence, la ligne et les proportions de celle qui m’a confié sa nouvelle poitrine.
Il n’y a pas d’âge pour franchir le pas. Marie-Claude y pensait depuis longtemps mais sa vie professionnelle et personnelle ne lui avait pas donné le temps de penser à elle.
À 55 ans c’était enfin le bon moment.
« J’ai tellement mal au dos et au cou… » ; « je ne vois plus mes pieds » : il était essentiel pour Marie-Claude d’en finir avec son hypertrophie mammaire, doublée d’une asymétrie. Nous sommes convenues de respecter sa silhouette lors de la réduction
A chacune de ses deux grossesses, Cécile, cette jeune maman a pris deux tailles de bonnet.
La réduction mammaire lui devenait indispensable.
Annie, cette femme de 56 ans a forgé sa conviction et souhaité une importante réduction mammaire.
Aline a souhaité que je « reprenne » ses seins sans altérer sa silhouette et ses formes
La correction de ptose donne un vrai coup de jeune à la silhouette de Sylvie. Ici, les cicatrices sont encore rouges car l’opération ne date que de 15 jours.
Les patientes vont si bien qu’elles ne trouvent pas le temps de revenir me montrer leurs seins avant la visite anniversaire. Leurs cicatrices ont alors bien blanchi.
L’opération est vécue comme une véritable restitution, une réappropriation du corps pour Nathalie.
Allégée de son hypertrophie, Carole peut maintenant porter «le petit triangle à dentelle », cette jolie lingerie dont elle a toujours rêvé.
Bien qu’encore roses au moment des photos, la cicatrice de Carole est à la hauteur de ses attentes, l’utilisation du laser ayant accéléré leur blanchiment.
« Mal au dos », « mal dans ma peau », « mal dans mes fringues » me disait Clémence, qui fut tellement heureuse de se mettre à nouveau en maillot de bain…
Trop lourds, affaissés, Aline a souhaité que je « reprenne » ses seins sans altérer sa silhouette et ses formes.
Femme au caractère affirmé, Elodie me demande une cure de ptose. Prête à assumer les cicatrices (qu’on estompera par le laser), elle ne souhaite qu’une mini-réduction de volume.
Complexée depuis le collège, Elsa a mal vécu le lycée et décidé d’alléger à la fois sa poitrine et sa vie d’étudiante. Les cicatrices sont encore voyantes, deux mois après l’intervention. C’est aussi le prix de la jeunesse, les cicatrices étant toujours un peu plus marquées à cet âge… Patience, elles blanchiront !
Avec la réduction et la cure de ptose, on remonte autant les seins que l’estime de soi. Elsa me dira s’être réconciliée avec son corps.
Frédérique a souhaité « alléger » ses seins qu’elle trouvait trop lourds et de redresser leur forme affaissée.
Outre des seins qui lui plaisent à nouveau, Frédérique a retrouvé une posture plus droite et confortable.
Une réduction « moyenne » pour Joana qui veut garder un joli galbe en accord avec sa silhouette. La cicatrice est récente sur la photo, elle vas s’adoucir avec le temps.
De profil, on voit bien que je viens d’enlever les fils. 12 jours après l’intervention, les épaules de Joana, soulagées, se sont déjà redressées.
Katia, jeune et sportive, voit son hyperactivité au grand air contrariée par des seins trop lourds. Nous avons décidé d’une réduction mammaire qui lui permet toutefois de conserver un beau bonnet D pour le décolleté de son maillot de bain.
Katia a profité pleinement de son «nouvel été », non sans protéger absolument ses cicatrices du soleil. Cicatrices qu’elle soigne en les massant.
On a toujours envie de se plaire à soi-même, de séduire et d’avoir moins mal au dos !
Sa réduction mammaire a redonné du baume au cœur à Rosa qui a lâché l’inévitable réflexion « pourquoi ne l’ai-je pas fait plus tôt ?! »
Myriam n’en pouvait plus de ne pas voir son nombril.
Son importante réduction mammaire a immédiatement soulagé son dos et lui a redonné suffisamment de confiance et d’enthousiasme pour démarrer un nouveau régime.
De profil, on voit que Myriam a déjà minci : son cou est plus dégagé et elle se tient plus droite.
LUNDI au VENDREDI 9H30-18H00