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La lipoaspiration est une technique chirurgicale qui permet de redessiner la silhouette en enlevant les excès de graisse dans des zones spécifiques comme la culotte de cheval, le ventre, les cuisses, les bras ou le menton. Cette intervention chirurgicale ne fait pas maigrir sur la balance, mais elle permet de remettre les vêtements que l’on avait avant une grossesse ou une prise de poids. Elle se fait sous anesthésie générale et nécessite une nuit de surveillance post-opératoire pour le confort et la surveillance du patient. Il y a quelques ecchymoses qui mettent environ 15 jours à disparaître, et le résultat est visible dès le 15ème jour et évolue pendant six à neuf mois. La technique est presque magique car il y a quasiment pas de cicatrices et le geste est quasi invisible.
La chirurgie bariatrique est destinée aux patients qui ont perdu beaucoup de poids. Après cette chirurgie difficile et ce long parcours de perte de poids, il est temps de réparer la silhouette. C’est le chirurgien esthétique qui va enlever les excédents cutanés dans différentes localisations, mais c’est toujours la patiente qui décide de ce qu’elle veut faire et quel est son objectif. Il peut y avoir une zone à opérer comme la plastie abdominale, ou une chirurgie plus importante avec plastie abdominale, plastie des bras et des cuisses. L’objectif de la chirurgie réparatrice est de dissimuler au maximum les cicatrices et de les rendre aussi courtes que possible.
La plastie abdominale a lieu sous anesthésie générale ou en chirurgie ambulatoire ou en hospitalisation d’une nuit. Les suites opératoires ne sont pas très douloureuses, vous aurez un arrêt professionnel de trois à cinq jours et art et sportif 30 à 45 jours. La cicatrice évoluera dans le temps et elle ne pourra aller qu’en se bonifiant. Il est important de noter que l’évaluation d’une cicatrice ne doit pas être faite à quinze jours post opératoire, mais plutôt entre six mois et un an. En somme, la lipoaspiration, la réparation des séquelles de la chirurgie bariatrique et la plastie abdominale sont des techniques chirurgicales efficaces pour redessiner votre silhouette et améliorer votre confiance en vous. Cependant, il est important de consulter un chirurgien expérimenté pour décider de la technique la plus adaptée à votre cas et pour obtenir les meilleurs résultats possibles. En tant que chirurgien plasticien expérimenté, je suis à votre disposition pour répondre à toutes vos questions et vous accompagner dans votre démarche de chirurgie esthétique.
La liposaspiration, ce qu’il faut en savoir, ce qu’on peut en attendre et les conditions de l’opération.
La lipoaspiration gomme les bosses et les volumes en trop et permet de retrouver pantalons slims, jupes et robes moulantes. Mais elle ne modifiera pas la qualité de la peau.
Elle ne fait pas maigrir sur la balance, en revanche elle ne creusera pas vos joues ou votre bonne humeur !
C’est une intervention simple, pratiquée sous anesthésie générale en hospitalisation d’une nuit ou en ambulatoire. L’anesthésiste et moi préférons la première option avec une brève hospitalisation : sans être vraiment douloureuse, l’opération n’est pas anodine et l’on gagne à passer sa première nuit dans les meilleures conditions.
A l’arrivée au bloc, je dessine sur la patiente éveillée les zones de mon intervention. Puis vous êtes endormie. J’utilise un appareil d’assistance à la lipoaspiration qui permet de réduire les hématomes et de travailler plus régulièrement.
L’intervention laisse des hématomes. On aidera l’organisme à les drainer, notamment en vous demandant de porter des bas de contention. Dans un premier temps, il ne faut pas masser mais commencer soi-même par du pincer-rouler plusieurs fois par jour.
Le drainage lymphatique et la reprise d’une activité normale permettront d’achever la résoprtion des hématomes.
Grossesses et variations de poids peuvent avoir déformé le ventre. Le point sur les techniques et les interventions.
Grossesses, variations de poids, pas assez d’exercice :
la forme qu’a pris votre abdomen est disgracieuse, elle vous gêne.
Après vous avoir reçu(e), entendu(e) et examiné(e) en consultation, mon intervention consiste d’abord à enlever la graisse sous la peau, via une lipoaspiration qui peut s’avérer suffisante.
S’il est nécessaire de retendre la peau, on effectue une plastie abdominale. Si je peux procéder par simple lifting, l’intervention laisse une cicatrice horizontale que je place le plus près possible du pubis où elle sera masquée par la culotte.
S’il faut retirer davantage de peau, nous devons envisager une longue cicatrice abdominale et dans la zone ombilicale.
Dans certains cas, il est nécessaire de resserrer les muscles abdominaux, écartés notamment par les grossesses.
La plastie s’effectue sous anesthésie générale, en ambulatoire ou en hospitalisation d’une nuit. La suite n’est pas très douloureuse. Il vous faudra attendre 30 à 45 jours avant de reprendre le sport.
Il faut toujours patienter 6 à 12 mois pour juger de la qualité des cicatrices. Et ne pas s’en inquiéter avant !
Cette abdominoplastie intervient au bout d’une chaîne d’efforts et d’interventions, alors que le/la patient(e) a perdu suffisamment de poids pour être satisfait(e) de sa nouvelle silhouette et qu’il faut retirer cette « ancienne peau » pour achever un long parcours personnel.
La chirurgie plastique peut alors recouvrir plusieurs zones du corps et autant de types d’interventions :
La cicatrisation est un phénomène imprévisible et aléatoire : je fais la cicatrice, mais c’est VOUS qui cicatrisez, plus ou moins bien en fonction de la nature de votre peau, des traitements que vous recevez -la radiothérapie nuit à la cicatrisation- et de votre hygiène de vie -le tabac est un très mauvais camarade.
En cas de tabagisme, même passif, la cicatrisation est, en effet, encore plus aléatoire, avec des risques de nécrose et celui d’une cicatrisation beaucoup plus longue. Au final, les cicatrices sont souvent plus rouges, plus inflammatoires.
Nous aurons l’occasion d’en parler.
Je fais aussi ma part du job :
• Je privilégie les « surjets » -le fil court tout le long et à l’intérieur de la cicatrice, pour être le moins visible possible, comme lorsqu’on coud un ourlet. J’effectue le moins possible de nœuds internes, susceptibles de provoquer des nécroses ou des traces.
• J’utilise depuis 20 ans des pansements de type micropore, collés à même la cicatrice. On les garde 5 jours, on se douche, on se sèche, on vit facilement avec eux, sans les enlever et pourtant la cicatrice respire très bien. Le silicone dont sont imprégnés les pansements améliore les facultés de cicatrisation de la peau.
C’est encore un pas vers une belle cicatrice :
• J’ai également choisi de recourir à un appareil, nommé Laser Urgotouch. Juste avant de faire le pansement je « flashe » les cicatrices avec cette pièce à main, guidée par une cellule photoélectrique qui permet d’adapter l’intensité du laser à votre type de peau. C’est indolore pour vous, sans contrainte, sans effet secondaire et sans consultation supplémentaire.
Je l’ai finalement adopté, des mois après l’avoir essayé : alors que je recevais une patiente en consultation, j’ai trouvé que les cicatrices que je lui avait faites étaient vraiment bluffantes, pour soudain me rappeler que j’avais testé, à sa demande, le laser lors de son intervention !
Pour en savoir plus sur laser Urgotouch : https://www.youtube.com/watch?v=3Dr9exBmH0U&feature=youtu.be
Exemples de résultats comparés par patiente avec et sans traitement laser post-opératoire de la cicatrice (source UrgoTouch, étude réalisée sur 40 patientes dans le service de Chirurgie plastique et réparatrice de l’Hôpital de la Conception à Marseille dirigé par le Professeur Casanova)
LUNDI au VENDREDI 9H30-18H00