Réparer les malformations des seins

Les questions que vous vous posez

Réparer les malformations des seins

Les questions que vous vous posez

Je prends en charge chacune de ces anomalies : anomalies de volume, asymétrie de forme, seins tubéreux et pectus – excavatum.

​Il est primordial de prendre en compte l’âge de la patiente et sa souffrance psychologique, en fonction de quoi je peux proposer réduction du sein trop volumineux ou augmentation du plus petit.

Nous décidons évidemment ensemble.

J’ai l’expérience de ces complexes et je veille à conduire la patiente hors d’une situation où elle a assez souffert.

​Aucune anomalie n’est négligeable, toutes méritent mon attention et ma compréhension.

Les seins tubéreux, dont le diagnostic est généralement posé à l’adolescence, sont une malformation dont l’impact physique et psychologique est susceptible d’ébranler profondément une jeune femme.

​Les seins tubéreux ont une forme cylindrique et la plupart du temps hypotrophique, leur sillon sous-mammaire est placé trop haut, leur enveloppe cutanée réduite, une zone aréole-mamelon surdimensionnée, bombée et regardant vers le bas. Ils sont souvent asymétriques.

​L’intervention consiste à redonner au sein un arrondi naturel et esthétique, une aréole de forme et de taille harmonieuses. Elle fait appel à différentes techniques – en fonction des malformations – qu’il me faut combiner.

Aussi réparatrice qu’esthétique, elle peut être envisagée dès 17 ans et la fin de la puberté.

Si les résultats sont visibles immédiatement, il faudra toutefois patienter 6 mois pour apprécier totalement la forme définitive de la nouvelle poitrine, le temps que l’œdème se résorbe et que les tissus s’assouplissent.

Cette malformation d’origine congénitale se caractérise par des mamelons rentrés ou très peu proéminents : les canaux galactophores (qui apportent le lait) sont trop courts, ils tirent le mamelon vers l’intérieur du sein.

On parle alors de mamelon ou de téton ombiliqué ou invaginé.

​L’intervention est très simple, elle a lieu sous anesthésie locale en ambulatoire. Les suites sont très peu douloureuses. Un arrêt de travail d’un jour ou 2 suffit dans la plupart des cas mais il faut s’interdire tout effort physique la première semaine.

​Le résultat est instantané mais il faut attendre quelques semaines pour que l’aréole ait sa forme définitive.