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Vous êtes nombreuses à me demander de montrer et je comprends qu’il soit important de voir.
Attention toutefois : ce sont des photos pré et post-opératoires.
Il n’y a que vous pour savoir si vous êtes trop sensible pour feuilleter ces albums.
Et n’oubliez pas que chaque personne, chaque intervention est unique.
La prothèse anatomique est une prothèse « marketing » : elle devait faire des seins plus naturels et pour cela avoir la jolie forme d’une goutte d’eau ! Or la goutte pouvait se retourner, c’est pourquoi le fabricant a créé cette macrotexture, ce scratch en velcro… qui non seulement fait perdre tout l’effet naturel voulu (quand une femme ainsi opérée est allongée, la poitrine ne bouge pas, elle reste posée en « montagne russe » sur le thorax) mais a pu entraîner des lymphomes chez un nombre significatif de patientes. Pour ces raisons, je n’ai jamais utilisé ces prothèses anatomiques.
L’augmentation mammaire par prothèses rondes d’ Isabelle est la preuve qu’il n’est nul besoin de prothèses anatomiques pour garder un décolleté naturel et glamour !
Les cicatrices sont discrètes, dans le sillon sous-mammaire.
La jolie pente du sein est respectée.
On le voit sur Isabelle, une prothèse ronde peut tout à fait donner une allure naturelle au sein. Sa prothèse bouge avec elle et le sein s’étale naturellement quand elle s’allonge.
Laure, grande et élégante, a vu ses seins fondre après ses grossesses.
Je lui ai rendu « son » volume naturel à l’aide de prothèses rondes. Les cicatrices sont au bord inférieur de l’aréole.
Cette photo a été prise 15 jours après l’intervention, d’où les cicatrices encore un peu roses.
Mais elles vont blanchir et seront comme un cheveu blond au bord de l’aréole.
Comme beaucoup de femmes dont le corps a beaucoup été modifié par les grossesses, Laure a retrouvé féminité, assurance et séduction à l’issue de ce parcours.
Laure, encore. 15 jours après l’intervention, je viens d’enlever les fils mais d’emblée
les seins ont une allure naturelle qui épouse le sillon sous-mammaire.
Aude, atteinte d’un cancer traité par tumorectomie et radiothérapie, rêvait depuis longtemps d’une augmentation mammaire.
A l’issue des traitements et en accord avec tous ses médecins oncologues, elle a réalisé son rêve en toute sécurité.
L’impact de la radiothérapie sur les tissus du sein rend la reconstruction plus délicate, ce que doivent bien comprendre la patiente et le chirurgien.
Aujourd’hui, les deux seins d’Aude sont souples et harmonieux.
Brigitte rêvait d’un bonnet D-E et d’un sein projeté offrant néanmoins une jolie pente, naturelle. Elle assume parfaitement cette nouvelle ligne, qu’elle trouve séduisante.
Nous avons choisi ensemble de placer la cicatrice dans le sillon sous-mammaire.
Félicie a « perdu » ses seins au fil des grossesses.
Elle souhaite que je leur restitue du volume. Les prothèses, rondes, ont permis de remonter le sein et le mamelon et de donner aux aréoles une forme plus éclose.
C’est tout le sein qui éclot : le volume de la prothèse lui donne du galbe sans jamais se départir du naturel
Lorraine, jolie étudiante, souhaitait une « augmentation moyenne » (ce sont ses mots !) et je ne l’ai pas contredite.
Ses seins étaient écartés avant intervention, j’ai conservé cette singularité.
Ils se sont épanouis sur la prothèse et ont trouvé leur galbe.
« Je rêve d’un bonnet C+… mais naturel », a rougi Tania.
C’est sous le muscle pectoral que j’ai placé les prothèses et c’est dans le sillon sous-mammaire que j’ai placé la cicatrice, quasiment invisible dans le pli du sein.
Chez Juliette, la prothèse mammaire a amené du volume.
Elle a également amélioré la projection du mamelon et corrigé la ptose sans qu’il soit nécessaire d’intervenir et de laisser une cicatrice supplémentaire.
Caroline a déjà reçu des implants et souhaite désormais des prothèses plus volumineuses, un bonnet E assumé, qui se voie.
Les cicatrices dans le sillon sous-mammaire sont dissimulées par le bombé des seins.
Anne, jeune maman très mince désirait une petite augmentation cohérente avec sa silhouette. J’ai mis de petites prothèses rondes et elle a mis, enfin, de petites robes à bretelles sans soutien-gorge rembourré.
Alexia a 18 ans quand elle me sollicite pour une augmentation mammaire. Elle ajoute qu’elle trouve ses seins vraiment écartés. Je lui réponds que Dame Nature s’impose aussi à moi et que le chirurgien ne peut pas TOUT.
Alexia est heureuse de pouvoir porter sa robe à bretelles « sans soutien » et qui tient « debout toute seule sur [ses] seins ! ».
12 ans plus tard, re-voici Alexia. Son corps a changé et ses seins aussi, les grossesses leur ayant donné encore plus de souplesse.
Les cicatrices cachées dans le sillon sous-mammaire ont totalement blanchi. J’aime à dire aux impatientes que le temps est le meilleur ami des cicatrices !
Les seins de Caroline ne se sont jamais développés. En implantant une prothèse, j’ai corrigé leur forme légèrement affaissée.
Ses seins sont toujours un peu « penchés » mais les prothèses leur donnent un joli galbe.
« J’ai des seins tristes et plats », me dit Claire. « Je veux des vrais pommes qui soulèvent ma lingerie et qui se voient. J’assume totalement ! »
J’ai choisi des prothèses « profil haut » rondes. Elle rendent son sourire à Claire tout en préservant un aspect naturel à son profil.
Les seins de Caroline ne se sont jamais développés. En implantant une prothèse, j’ai corrigé leur forme légèrement affaissée.
Ses seins sont toujours un peu « penchés » mais les prothèses leur donnent un joli galbe.
Privée de seins , de mamelon et d’aréole, Karolina, souhaitait une augmentation discrète et en harmonie avec sa mince silhouette.
Comme souvent, ses « nouveaux seins » lui ont rapidement suggéré une nouvelle manière de se tenir, plus droite, plus fière.
Jolie maman de trois enfants qui « ont fait fondre [ses] seins », Lucia est venue me voir pour une augmentation mammaire naturelle et « légère » .
Je lui ai posé des implants de moyenne projection adaptés à sa demande et à sa morphologie. Nous avions décidé ensemble de détruire les clichés « d’avant » qui la troublaient beaucoup.
Les petits seins presque tombants de Véronique demandent une petite augmentation mammaire, juste de quoi mettre une jolie lingerie.
Juste après son bac, Zoé me consulte pour une augmentation mammaire. La voici 10 ans plus tard, pour une visite de courtoisie après deux grossesses.
Ses prothèses rondes lui plaisent toujours autant. Un contrôle par mammographie montre qu’elles sont en bon état. On attendra encore un peu pour les changer.
LUNDI au VENDREDI 9H30-18H00