Pose d’implants mammaires : augmentation du volume des seins

Imaginez un chemin où chaque pas vous rapproche de l’harmonie entre votre désir et votre reflet dans le miroir. L’augmentation mammaire, loin d’être un caprice, est souvent le fruit d’une réflexion profonde, un voyage vers soi que des milliers de femmes entament chaque année. Leur motivation ? Redessiner les contours d’une féminité qui leur ressemble, avec une poitrine en adéquation avec leur morphologie et leurs aspirations. Entre les mains d’un chirurgien, l’opération devient une symphonie de précision, où prothèses ou graisse naturelle se muent en instruments d’un renouveau esthétique. La transformation ne se limite pas à l’augmentation d’un bonnet; elle sculpte la confiance et redéfinit l’estime de soi. Et si les cicatrices sont les témoins silencieux de cette métamorphose, elles s’estompent avec le temps, laissant place à une joie intérieure, lumineuse et profonde. Ce voyage corporel est une promesse de renaissance, où chaque femme peut enfin se révéler dans toute son authenticité.

Table des matières
Augmentation mammaire avant après

Témoignages et études de cas : PhotoS avant et après

Isabelle augmentation des seins par prothèses rondes

La prothèse anatomique est une prothèse « marketing » : elle devait faire des seins plus naturels et pour cela avoir la jolie forme d’une goutte d’eau ! Or la goutte pouvait se retourner, c’est pourquoi le fabricant a créé cette macrotexture, ce scratch en velcro… qui non seulement fait perdre tout l’effet naturel voulu (quand une femme ainsi opérée est allongée, la poitrine ne bouge pas, elle reste posée en « montagne russe » sur le thorax) mais a pu entraîner des lymphomes chez un nombre significatif de patientes. Pour ces raisons, je n’ai jamais utilisé ces prothèses anatomiques.

L’augmentation mammaire par prothèses rondes d’ Isabelle est la preuve qu’il n’est nul besoin de prothèses anatomiques pour garder un décolleté naturel et glamour !

Les cicatrices sont discrètes, dans le sillon sous-mammaire.

La jolie pente du sein est respectée.

On le voit sur Isabelle, une prothèse ronde peut tout à fait donner une allure naturelle au sein. Sa prothèse bouge avec elle et le sein s’étale naturellement quand elle s’allonge.

Laure : volume naturel à l’aide de prothèses rondes

Laure, grande et élégante, a vu ses seins fondre après ses grossesses.

Je lui ai rendu « son » volume naturel à l’aide de prothèses rondes. Les cicatrices sont au bord inférieur de l’aréole.

Cette photo a été prise 15 jours après l’intervention, d’où les cicatrices encore un peu roses.

Mais elles vont blanchir et seront comme un cheveu blond au bord de l’aréole.

Comme beaucoup de femmes dont le corps a beaucoup été modifié par les grossesses, Laure a retrouvé féminité, assurance et séduction à l’issue de ce parcours.

Laure, encore. 15 jours après l’intervention, je viens d’enlever les fils mais d’emblée

les seins ont une allure naturelle qui épouse le sillon sous-mammaire.

Aude : elle a réalisé son rêve en toute sécurité

Aude, atteinte d’un cancer traité par tumorectomie et radiothérapie, rêvait depuis longtemps d’une augmentation mammaire.

A l’issue des traitements et en accord avec tous ses médecins oncologues, elle a réalisé son rêve en toute sécurité.

L’impact de la radiothérapie sur les tissus du sein rend la reconstruction plus délicate, ce que doivent bien comprendre la patiente et le chirurgien.

Aujourd’hui, les deux seins d’Aude sont souples et harmonieux.

Brigitte : cicatrice dans le sillon sous-mammaire

Brigitte rêvait d’un bonnet D-E et d’un sein projeté offrant néanmoins une jolie pente, naturelle. Elle assume parfaitement cette nouvelle ligne, qu’elle trouve séduisante.

Nous avons choisi ensemble de placer la cicatrice dans le sillon sous-mammaire.

Félicie : perte de ses seins au fil des grossesses.

Elle souhaite que je leur restitue du volume. Les prothèses, rondes, ont permis de remonter le sein et le mamelon et de donner aux aréoles une forme plus éclose.

C’est tout le sein qui éclot : le volume de la prothèse lui donne du galbe sans jamais se départir du naturel

Lorraine : une « augmentation moyenne »

Lorraine, jolie étudiante, souhaitait une « augmentation de sa poitrine moyenne » (ce sont ses mots !) et je ne l’ai pas contredite.

Ses seins étaient écartés avant intervention, j’ai conservé cette singularité.

Ils se sont épanouis sur la prothèse et ont trouvé leur galbe.

Tania : « Je rêve d’un bonnet C+… mais naturel »

« Je rêve d’un bonnet C+… mais naturel », a rougi Tania.

C’est sous le muscle pectoral que j’ai placé les prothèses et c’est dans le sillon sous-mammaire que j’ai placé la cicatrice, chirurgie quasiment invisible dans le pli du sein.

Juliette : amélioré la projection du mamelon

Chez Juliette, la prothèse mammaire a amené du volume.

Elle a également amélioré la projection du mamelon et corrigé la ptose sans qu’il soit nécessaire d’intervenir et de laisser une cicatrice supplémentaire.

Caroline : a déjà reçu des implants

Caroline a déjà reçu des implants et souhaite désormais des prothèses plus volumineuses, un bonnet E assumé, qui se voie pas.

Les cicatrices dans le sillon sous-mammaire sont dissimulées par le bombé des seins.

Anne : une petite augmentation cohérente

Anne, jeune maman très mince désirait une petite augmentation cohérente avec sa silhouette. J’ai mis de petites prothèses rondes et elle a mis, enfin, de petites robes à bretelles sans soutien-gorge rembourré.

Alexia : dame Nature s’impose aussi à moi

Alexia a 18 ans quand elle me sollicite pour une augmentation mammaire. Elle ajoute qu’elle trouve ses seins vraiment écartés. Je lui réponds que Dame Nature s’impose aussi à moi et que le chirurgien ne peut pas TOUT.

Alexia est heureuse de pouvoir porter sa robe à bretelles « sans soutien » et qui tient « debout toute seule sur [ses] seins ! ».

12 ans plus tard, re-voici Alexia. Son corps a changé et ses seins aussi, les grossesses leur ayant donné encore plus de souplesse.

Les cicatrices cachées dans le sillon sous-mammaire ont totalement blanchi. J’aime à dire aux impatientes que le temps est le meilleur ami des cicatrices !

Caroline : implant d'une prothèse

Les seins de Caroline ne se sont jamais développés. En implantant une prothèse, j’ai corrigé leur forme légèrement affaissée.

Ses seins sont toujours un peu « penchés » mais les prothèses leur donnent un joli galbe.

Claire : des prothèses « profil haut » rondes

« J’ai des seins tristes et plats », me dit Claire. « Je veux des vrais pommes qui soulèvent ma lingerie et qui se voient. J’assume totalement ! »

J’ai choisi des prothèses « profil haut » rondes. Elle rendent son sourire à Claire tout en préservant un aspect naturel à son profil.

Karolina : plus droite, plus fière, augmentation mammaire discrète

Privée de seins , de mamelon et d’aréole, Karolina, souhaitait une augmentation discrète et en harmonie avec sa mince silhouette.

Comme souvent, ses « nouveaux seins » lui ont rapidement suggéré une nouvelle manière de se tenir, plus droite, plus fière.

Lucia : implants de moyenne projection, Augmentation mammaire naturelle et « légère »

Jolie maman de trois enfants qui « ont fait fondre [ses] seins », Lucia est venue me voir pour une augmentation mammaire naturelle et « légère » .

Je lui ai posé des implants de moyenne projection adaptés à sa demande et à sa morphologie. Nous avions décidé ensemble de détruire les clichés « d’avant »  qui la troublaient beaucoup.

Véronique : juste de quoi mettre une jolie lingerie

Les petits seins presque tombants de Véronique demandent une petite augmentation mammaire, juste de quoi mettre une jolie lingerie.

Zoé : rothèses rondes

Juste après son bac, Zoé me consulte pour une augmentation mammaire. La voici 10 ans plus tard, pour une visite de courtoisie après deux grossesses.

Ses prothèses rondes lui plaisent toujours autant. Un contrôle par mammographie montre qu’elles sont en bon état. On attendra encore un peu pour les changer.

Questions fréquentes sur l'augmentation mammaire

Non, la chirurgie ésthetique mammaire n’entraîne généralement pas de douleur chronique, seulement une douleur à court terme. Une fois la période de récupération terminée, les femmes peuvent reprendre leurs activités normales avec un minimum de dérangement.
La longueur du temps minimal de récupération pour une augmentation mammaire est de deux ou trois semaines. La durée réelle de récupération peut varier en fonction des habitudes et de l’état physique de chaque patiente.
Non, les augmentations mammaires ne sont généralement pas remboursées par la sécurité sociale mais certains assureurs proposent des remboursements partiels. Il est donc important de vérifier auprès de votre assureur si le coût de cette chirurgie est couvert par votre contrat.

Récupérer totalement de l’intervention d’augmentation mammaire est un processus qui prend différentes longueurs de temps selon la chirurgie effectuée. Après une opération avec des prothèses, la période de convalescence moyenne est d’environ 3 semaines. Pendant ce temps, les mouvements brusques ou les activités excessives doivent être évitées. La douleur et le gonflement peuvent se produire et des médicaments peuvent être prescrits par votre chirurgien pour vous aider à récupérer. Il est important de se reposer, de se détendre et de suivre les instructions du chirurgien pour favoriser une récupération rapide et sûre.

L’augmentation mammaire est une procédure chirurgicale qui consiste à augmenter la taille et l’apparence des seins. Elle est fréquemment effectuée pour corriger les anomalies anatomiques, améliorer l’apparence physique et aider à la confiance en soi.

Le processus d’augmentation mammaire comprend généralement plusieurs étapes :

– Une consultation en amont avec un chirurgien plasticien : Cette consultation est essentielle car elle permet de discuter des objectifs personnels et des préoccupations, et de décider de la taille et de la forme des implants mammaire.

– Évaluation médicale : Les patients doivent passer leur bilan médical et des analyses sanguines pour s’assurer qu’ils sont en bonne santé et poursuivre le processus.

– Examen physique préopératoire : Un examen physique complet est effectué par le chirurgien pour vérifier les effets physiques que pourraient entraîner l’opération.

– Chirurgie : Le patient est anesthésié et le chirurgien insère les implants dans les seins.

– Soins postopératoires : Après l’opération, le patient devra se reposer et suivre toutes les directives médicales pour une guérison optimale.