La chirurgie esthétique
et médecine du visage

Rajeunissez votre visage pour un avenir plus confiant

La chirurgie esthétique et médecine du visage

Rajeunissez votre visage pour un avenir plus confiant

chirurgie et médecine du visage à Paris

Les différentes interventions

La chirurgie du visage à Paris

Les patientes qui me consultent cherchent souvent un résultat naturel et simple sur leur visage. Je leur propose trois types de traitements : la chirurgie des paupières, la chirurgie des poches sous les yeux et les injections de toxine botulique ou d’acide hyaluronique. Ces interventions sont simples, se font en consultation.

Les injections de toxine botulique permettent de traiter les rides du lion .
Tandis que les injections d’acide hyaluronique remplissent les sillons naso géniens. Les interventions chirurgicales de lifting sont nécessaires lorsqu’il y a un excédent cutané important.

Paupières, injections, lifting : deux minutes pour comprendre le pourquoi et le comment.

Ma pratique est guidée par la recherche du beau et du naturel, en m’attachant à privilégier les gestes les moins invasifs et les plus invisibles. A fortiori dès lors qu’il s’agit d’esthétique du visage.

Un geste simple ? C’est par exemple la chirurgie des paupières , qui illumine le regard, ou la mini-lipoaspiration du petit double-menton, qui allège un visage, certes empâté, qui ne méritait pas un lifting. Ces gestes « doux » suffisent bien souvent à donner ce qu’on recherche, au fond : un peu de sérénité face au temps qui passe.

Je peux aussi y associer des gestes de médecine esthétique, comme les injections, qui ne sont pas de nature à faire sursauter votre entourage. Il est autrement plus agréable d’entendre « Tu as l’air moins fatigué » ou « Toi, tu rentres de vacances ».

Peu invasifs et quasiment indolores, les actes de médecine esthétique donnent des résultats d’apparence naturelle qui sont réversibles et temporaires. Oubliez les injections de silicone des années 2000 et ces visages de science-fiction.

Ces traitements doivent être entrepris avec intelligence et modération, tant dans l’analyse de la physionomie du patient que dans la connaissance des produits. Quel est l’intérêt d’effacer excessivement rides ou affaissements si le résultat doit être un visage caricatural, trop rempli ou trop tiré ? Estomper sans dénaturer, ne jamais oublier que chacun veut « se » ressembler : en matière esthétique, je recherche l’harmonie et la subtilité.

Botox et acide hyaluronique sont deux traitements complémentaires. L’un ne remplace pas l’autre. 

Avec l’acide hyaluronique, je traite le symptôme, c’est-à-dire la ride, en la comblant.

Avec le botox, je traite la cause, c’est-à-dire le mouvement des muscles qui entraîne l’apparition de la ride.

D’abord utilisée pour corriger le strabisme de l’enfant et certains tics du visage, la toxine botulique permet de détendre durablement les muscles.

En esthétique, on l’injecte dans les muscles dont la contraction est responsable de certaines rides et ridules : celles du front, de la patte d’oie et de la glabelle (qu’on appelle ride du lion, entre les sourcils !).

Après les injections, le temps que le relâchement musculaire ait lieu, les rides d’expression s’atténuent voire disparaissent.

L’effet de l’acide hyaluronique est réversible car le produit se résorbe.

En général, cet effet dure 6 à 12 mois, en fonction du creux de la ride mais également de votre hygiène de vie : tabac et soleil « grillent » la peau et le produit, raccourcissant d’autant l’efficacité de l’injection.

A chaque injection, la ride se comble insensiblement, suffisamment pour qu’au fil des séances j’aie de moins en moins besoin de mettre de produit .

Suspendre les injections n’a aucun effet secondaire négatif. 

Ce n’est pas parce que vous arrêtez les injections que les rides vont s’aggraver ou que votre vieillissement sera accéléré.

L’injection est un acte médical.

A ce titre, je vous reçois en consultation avant de prendre toute décision. Vous m’y ferez notamment part de vos antécédents médicaux et de vos traitements en cours, qui me permettront de préciser ces « précautions particulières ». 

A titre d’exemple, les injections d’acide hyaluronique ou de toxine botulique sont tout à fait contre-indiquées pour les femmes enceintes.

Avant et après une injection d’acide hyaluronique, il faut simplement éviter de prendre des anti-inflammatoires ou de l’aspirine pendant 3 jours.

Après une injection de Botox, il ne faut pas masser la zone traitée. Il faut contracter les muscles de la zone injectée pendant la première heure qui suit l’injection et éviter de s’allonger et de pencher la tête vers le bas.

Et mes cicatrices ?

La cicatrisation est un phénomène imprévisible et aléatoire : je fais la cicatrice, mais c’est VOUS qui cicatrisez, plus ou moins bien en fonction de la nature de votre peau, des traitements que vous recevez -la radiothérapie nuit à la cicatrisation- et de votre hygiène de vie -le tabac est un très mauvais camarade.

En cas de tabagisme, même passif, la cicatrisation est, en effet, encore plus aléatoire, avec des risques de nécrose et celui d’une cicatrisation beaucoup plus longue. Au final, les cicatrices sont souvent plus rouges, plus inflammatoires.

Nous aurons l’occasion d’en parler.

Je fais aussi ma part du job :

• Je privilégie les « surjets » -le fil court tout le long et à l’intérieur de la cicatrice, pour être le moins visible possible, comme lorsqu’on coud un ourlet. J’effectue le moins possible de nœuds internes, susceptibles de provoquer des nécroses ou des traces.​

• J’utilise depuis 20 ans des pansements de type micropore, collés à même la cicatrice. On les garde 5 jours, on se douche, on se sèche, on vit facilement avec eux, sans les enlever et pourtant la cicatrice respire très bien. Le silicone dont sont imprégnés les pansements améliore les facultés de cicatrisation de la peau. 


C’est encore un pas vers une belle cicatrice :

​• J’ai également choisi de recourir à un appareil, nommé Laser Urgotouch. Juste avant de faire le pansement je « flashe » les cicatrices avec cette pièce à main, guidée par une cellule photoélectrique qui permet d’adapter l’intensité du laser à votre type de peau. C’est indolore pour vous, sans contrainte, sans effet secondaire et sans consultation supplémentaire.

Je l’ai finalement adopté, des mois après l’avoir essayé : alors que je recevais une patiente en consultation, j’ai trouvé que les cicatrices que je lui avait faites étaient vraiment bluffantes, pour soudain me rappeler que j’avais testé, à sa demande, le laser lors de son intervention !


​Pour en savoir plus sur laser Urgotouch : https://www.youtube.com/watch?v=3Dr9exBmH0U&feature=youtu.be

Exemples de résultats comparés par patiente avec et sans traitement laser post-opératoire de la cicatrice (source UrgoTouch, étude réalisée sur 40 patientes dans le service de Chirurgie plastique et réparatrice de l’Hôpital de la Conception à Marseille dirigé par le Professeur Casanova)