La chirurgie du sein

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La chirurgie esthétique du sein

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Chirurgie pour soulager la douleur et l'inconfort

La Réduction mammaire

Chirurgie esthétique des seins

La réduction mammaire est une intervention chirurgicale destinée à réduire le volume des seins. Elle est pratiquée lorsque les patientes souffrent de maux de dos ou éprouvent des difficultés à s’habiller, à cause d’une poitrine trop volumineuse. L’opération consiste à réduire le contenu glandulaire du sein et à adapter la peau à ce nouveau volume.

L’objectif est de soulager la douleur et de remodeler la poitrine pour lui donner une forme plus esthétique. Pendant l’opération, le chirurgien pratique des incisions pour retirer l’excès de tissu mammaire et repositionner le mamelon.

Afin de minimiser les cicatrices, le laser Urgotouch peut être utilisé pour réduire le volume des cicatrices après l’opération. L’opération se déroule sous anesthésie générale et la patiente doit passer une nuit à la clinique. Les suites opératoires sont simples, avec peu de douleurs, et la patiente peut reprendre ses activités normales après quelques semaines.

Chirurgie pour renforcer la confiance en soi

L'augmentation mammaire

Pose d'implants mammaires à Paris

L’augmentation mammaire est une intervention chirurgicale qui consiste à placer une prothèse (implant) mammaire derrière le muscle pectoral pour augmenter le volume des seins.

Avant l’opération, je discute avec la patiente des différentes options et des avantages et des inconvénients de chacune d’entre elles. Lors de l’opération, la patiente est endormie et opérée en position semi assise, les bras le long du corps pour maintenir la position physiologique du sillon sous-mammaire.

Je préfère placer la prothèse en position rétromusculaire sous le muscle pectoral présent dans les deux tiers supérieurs du thorax et, du fait de sa brièveté anatomique du pectoral, sous la glande dans le tiers inférieur, ce qui évite les plis de l’implant dans le décolleté.

Les suites opératoires peuvent être douloureuses les premiers jours, notamment quand les prothèses sont volumineuses et placées derrière le pectoral. La patiente doit porter un soutien-gorge nuit et jour pendant 4 semaines, être arrêtée 5 jours et ne pas reprendre le sport avant 1 mois et demi.

Les prothèses ne sont pas posées « à vie » et doivent être remplacées tous les 10 ans, et la cicatrisation dépend de la nature de la peau de la patiente et des traitements qu’elle reçoit.

Pour corriger l'affaissement des seins

Correction de la ptose mammaire

Chirurgie esthétique du sein

La ptose mammaire, ou affaissement des seins, est un problème courant pour de nombreuses femmes. Les variations de poids et les grossesses sont souvent les causes principales de cette déformation. Heureusement, la chirurgie esthétique peut aider à corriger ce problème.

Le traitement de la ptose mammaire dépend de la gravité de la déformation et des désirs de la patiente. En général, l’intervention chirurgicale consiste à combiner différentes techniques de chirurgie plastique du sein pour obtenir le résultat souhaité.

Chirurgie pour retrouver une poitrine masculine

Réduire la gynécomastie

Réduction des seins chez les hommes

La gynécomastie est une condition qui se caractérise par le développement excessif des glandes mammaires chez les hommes. Elle peut survenir à tout âge, mais elle est plus fréquente chez les adolescents et les hommes d’âge moyen. Cette condition peut causer une gêne physique et psychologique chez les hommes, notamment une diminution de la confiance en soi et une altération de l’image corporelle.

La gynécomastie peut être causée par des facteurs tels que des déséquilibres hormonaux, l’utilisation de certains médicaments ou la consommation d’alcool. Le traitement de la gynécomastie dépend de la cause sous-jacente de la condition.

Dans les cas les plus graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour enlever l’excès de tissu mammaire et restaurer une apparence plus masculine.

FAQ sur les chirurgies du sein

Pourquoi une réduction mammaire

  • Il n’existe pas un volume, un tour de poitrine ou une taille de bonnet standard au-delà desquels il faudrait réduire la taille des seins. Les vrais signes décisifs, ce sont les patientes qui les expriment : le mal de dos, ce point dur entre les omoplates qui contraint à rester penchée en avant et dont la douleur se propage jusqu’à la nuque et aux épaules ; l’impression de ne plus parvenir à s’habiller ; le fait de ne plus supporter ses seins, au propre comme au figuré.
    Et ne parlons pas du regard des autres, quels qu’ils soient.

Principe de la réduction mammaire

  • L’opération de réduction mammaire consiste à réduire le contenu glandulaire du sein et à adapter le contenant –la peau- à ce nouveau volume. On profite de l’intervention, aussi, pour remonter le sein, affiner son galbe et le remodeler pour lui redonner une plus jolie forme. Il y a donc forcément des cicatrices. Aujourd’hui, afin de les réduire, nous disposons d’un nouvel appareil laser, nommé Urgotouch, que j’utilise alors que vous dormez encore sous anesthésie générale. En fin d’intervention, après avoir fini mes sutures et juste avant de faire le pansement, je flashe les cicatrices avec ce laser. C’est indolore pour vous, sans contrainte ni effet secondaire, et aucune autre séance n’est nécessaire. Les résultats sont tangibles : le volume (largeur et épaisseur) de la cicatrice est ainsi réduit de 36% en en moyenne. C’est une vraie avancée dans notre métier.

Pour en savoir plus sur laser Urgotouch : https://youtu.be/3Dr9exBmH0U

Comment se déroule l’opération de réduction mammaire ?

Le matin de l’intervention, je fais sur ma patiente des dessins, comme une couturière tracerait ses repères. Nous évoquons à nouveau, ensemble, votre désir et vos attentes. La réduction mammaire a lieu sous anesthésie générale. Je vous opère assise, les bras le long du corps. C’est très important car, allongée, les seins sont tous pareils : c’est dans la position assise que l’on jauge le mieux leur singularité, leur forme et leur volume des seins.
C’est dans cette position que les seins se révèlent.
Je laisse dans le champ opératoire – l’espace visible de la peau pendant l’intervention – les épaules et les hanches, de façon à réduire le volume des seins en harmonie avec votre silhouette.

L’intervention est accessible à celle qui, au propre comme au figuré, « ne supporte plus ses seins »

La cicatrice évolue pendant au moins un an. Au départ elle est fine comme je l’ai faite, puis c’est vous qui cicatrisez. La cicatrice atteint un point inflammatoire culminant vers le troisième mois, elle est alors bien rouge. Elle le reste encore six à neuf mois et, enfin, elle blanchit. C’est l’histoire naturelle des cicatrices.
Une cicatrice se juge un an après l’intervention.

Outre qu’il permet d’en réduire le volume, le Laser Urgotouch semble également permettre d’accélérer le processus ( comme l’indique le laboratoire avec une réduction – selon leurs évaluations – de 36 % ).

Exemples de résultats comparés par patiente avec et sans traitement laser
post-opératoire de la cicatrice (source UrgoTouch, étude réalisée sur 40 patientes dans le service de Chirurgie plastique et réparatrice de l’Hôpital de la Conception à Marseille dirigé par le Professeur Casanova) 

Pour en savoir plus sur laser Urgotouch : https://youtu.be/3Dr9exBmH0U

• Vous restez une nuit à la clinique après l’opération.
Aujourd’hui, on peut effectuer cette intervention en ambulatoire et libérer la patiente le soir même de l’intervention. Cela dépend à la fois de votre forme et des volumes de réduction mammaire que nous aurons pratiqués. Nous aurons l’occasion d’en parler à la consultation.

• Les suites opératoires sont simples et occasionnent peu de douleurs, car je ne touche pas le muscle pectoral. Les pansements sont très légers, fini les lourdes bandes adhésives d’autrefois. Le lendemain matin, l’infirmière les change et c’est le moment où la patiente découvre ses nouveaux seins.

• Le soulagement au niveau du dos est spectaculaire, instantané. Il y a même des patientes qui me disent « docteur, je peux enfin respirer à fond ! ». Il arrive que les jeunes femmes opérées courent dans les couloirs de la clinique pour savourer cette nouvelle légèreté ! D’autres la vivent comme « une renaissance », « une nouvelle vie ».

• Le retour à la maison est très simple. Vous ne changez les pansements que tous les 4-5 jours ; c’est facile ! Vous pouvez prendre autant de douches que vous voulez mais pas encore de bain. Pour cela, il faudra attendre un mois environ.
Le sport attendra 30 à 45 jours, un délai raisonnable pour respecter la tension sur les tissus et à nouveau transpirer sur ses cicatrices.

Toutes ces questions que je me pose…

La question de l’allaitement futur. La question de la sensibilité du sein, qui a peut-être changé à mesure que le sein devenait une gêne. La question du volume futur de mon sein, de ce que je voudrais, de ce que dit ma sœur ou mon mari…
N’hésitez pas à noter vos questions et à me les soumettre. Aucune n’est embarrassante, aucune ne restera sans réponse. Nous prendrons le temps

L’objectif d’un résultat naturel

C’est pour moi une évidence : vous êtes unique et l’intervention le sera également. Le résultat doit sembler naturel et vous devez « vous ressembler ». La réduction doit correspondre à vos proportions et à vos attentes. C’est pourquoi nous aurons beaucoup parlé en consultation, c’est pourquoi nous parlerons à nouveau, le jour même, au bloc. C’est également pourquoi je vous opère en position semi-assise, les bras le long du corps. Faites l’expérience, allongez-vous bras en croix : ça n’a plus rien de naturel !
L’objectif est que vos seins soient proportionnels à votre silhouette. A certaines d’entre vous, je propose de réduire un peu moins, en prévision des grossesses à venir (qui dans 80 % des cas font fondre les seins) ou d’un projet d’amaigrissement.

Réduire la poitrine d’un homme, c’est lui rendre sa silhouette et le moral. Le point sur une intervention rapide et maîtrisée.

Qu’on le réduise ou qu’on le remodèle, l’objectif c’est de retrouver ce volume et cette forme que le sein avait « avant ».

Seins qui tombent et s’affaissent, mamelon trop bas, peau distendue, glande devenue trop petite ou volumineuse… c’est souvent après des variations de poids et les grossesses qu’on parle de ptose mammaire.

Logiquement, mon intervention combine toutes les techniques de chirurgie plastique du sein selon la ptose et les désirs de ma patiente.

Situation 1, je corrige la ptose sans placer d’implant.

Lorsque la patiente désire garder sa taille de soutien-gorge et qu’elle compte, avec mon aide, remonter ses seins, j’effectue un lifting mammaire et je repositionne le mamelon en supprimant l’excès de peau


Situation 2, je remonte le sein et je pose un implant.

Lorsque les seins tombants sont affaissés et relâchés, qu’il ont perdu leur volume, le simple lifting ne suffit pas et l’on choisit de mettre en place des implants mammaires de faible volume qui vont restituer le galbe naturel initial. Lorsqu’il manque vraiment peu de volume, je peux proposer un lipofilling, qui consiste à injecter dans le sein de la patiente sa propre graisse.

Situation 3 : Il arrive que la déformation du sein soit accompagnée d’une hypertrophie (sein trop volumineux). Je vais donc réduire son volume, remonter le sein et recentrer mamelon et aréole.

 

Le docteur Muriel Perrault de Jotemps explique les conditions de réalisation d’une augmentation mammaire.

Comment se déroule l’opération d’augmentation mammaire ?

​Le jour de l’intervention, nous nous retrouvons au bloc.

Après vérification de votre identité par l’infirmière, je dessine sur vous le « patron de couture » et nous pouvons reparler des décisions que nous avons prises ensemble.

​Le Docteur Saada vient contrôler votre état puis il vous endort.

​Je vous opère en position semi-assise (nos seins sont identiques en position allongée alors qu’ils se « révèlent » en position assise), les bras le long du corps pour ne pas modifier la position physiologique du sillon sous-mammaire.

Ne croyez rien des émissions ou des séries TV où les patientes ont les bras en croix ! En outre, cette position permet de simplifier les suites opératoires, du fait du bon positionnement immédiat de la prothèse : vous ne porterez qu’une légère brassière, sans armature ni contention.

Elle me permet surtout de vous voir telle que vous serez, assise ou debout, mais droite et fière de votre nouvelle ligne !

​Je fais moi-même toutes les sutures après la pose de la prothèse. J’aime ce moment qui clot l’intervention.

​Le pansement est léger.

Je décide parfois de poser un drain (ou redon) afin de réduire une réaction inflammatoire, de prévenir le risque de « coque » et de favoriser une meilleure cicatrisation interne.

Photo augmentaion mammaire

 

En plaçant la prothèse devant le muscle, le chirurgien se facilite la vie, c’est moins douloureux pour la patiente mais le résultat est décevant : les plis se voient dans le décolleté, parfois même la prothèse est palpable.


Je préfère pour ma part la placer derrière le muscle pectoral,

en rétromusculaire, sous le muscle pectoral présent dans les deux tiers supérieurs du thorax et, du fait de sa brièveté anatomique du pectoral, sous la glande dans le tiers inférieur.

Cette position s’appelle le « dual plan » et constitue une solution mixte combinant les avantages des 2 positionnements, en évitant leurs inconvénients. Le résultat est plus naturel et plus pérenne, sans les plis de la prothèse dans le décolleté.

​Nous discutons préalablement de ces options, de leurs avantages et inconvénients.

Elles sont parfois douloureuses les premiers jours, notamment quand les prothèses sont volumineuses et placées derrière le pectoral.​

Gonflement, bleus, gêne en levant le bras sont fréquents.

On changera les pansements pour plus léger.

Il faudra porter un soutien-gorge nuit et jour pendant 4 semaines.

• La plupart du temps, les fils sont internes et résorbables.

Sinon, je les retire à la consultation post-opératoire.

​Il convient d’être arrêtée 5 jours et de ne pas reprendre le sport avant 1 mois et demi.

Vous avez mon numéro de téléphone portable et pouvez me joindre en cas d’urgence ou si une question vous taraude.

Il est indispensable de se soumettre aux visites de contrôle dans les semaines et les mois qui suivent l’implantation.

On recommande une visite spécifique tous les 2 ou 3 ans et dès qu’une modification d’un sein est détecté ou que la patiente a subi un traumatisme violent.

Même si l’on voit des patientes conserver leurs implants plusieurs décennies, il ne faut pas considérer l’intervention comme définitive mais s’attendre à devoir un jour les remplacer.

​Quels qu’ils soient, les implants ont une durée de vie incertaine. Les nouvelles générations sont plus fiables et plus résistantes que leurs aînées.

​On a longtemps dit qu’il fallait changer les prothèses tous les 10 ans, une précaution qui reste pertinente, par prudence.

On peut profiter de ce changement pour pratiquer une amélioration esthétique (taille, forme, correction d’une ptose due au temps qui passe…).

L’intervention sera beaucoup moins douloureuse que la première pose

La cicatrisation est un phénomène imprévisible et aléatoire : je fais la cicatrice, mais c’est VOUS qui cicatrisez, plus ou moins bien en fonction de la nature de votre peau, des traitements que vous recevez -la radiothérapie nuit à la cicatrisation- et de votre hygiène de vie -le tabac est un très mauvais camarade. ​En cas de tabagisme, même passif, la cicatrisation est, en effet, encore plus aléatoire, avec des risques de nécrose et celui d’une cicatrisation beaucoup plus longue. Au final, les cicatrices sont souvent plus rouges, plus inflammatoires. Nous aurons l’occasion d’en parler. ​Je fais aussi ma part du job : • Je privilégie les « surjets » -le fil court tout le long et à l’intérieur de la cicatrice, pour être le moins visible possible, comme lorsqu’on coud un ourlet. J’effectue le moins possible de nœuds internes, susceptibles de provoquer des nécroses ou des traces. ​• J’utilise depuis 20 ans des pansements de type micropore, collés à même la cicatrice. On les garde 5 jours, on se douche, on se sèche, on vit facilement avec eux, sans les enlever et pourtant la cicatrice respire très bien. Le silicone dont sont imprégnés les pansements améliore les facultés de cicatrisation de la peau. ​ C’est encore un pas vers une belle cicatrice : ​• J’ai également choisi de recourir à un appareil, nommé Laser Urgotouch. Juste avant de faire le pansement je « flashe » les cicatrices avec cette pièce à main, guidée par une cellule photoélectrique qui permet d’adapter l’intensité du laser à votre type de peau. C’est indolore pour vous, sans contrainte, sans effet secondaire et sans consultation supplémentaire. Je l’ai finalement adopté, des mois après l’avoir essayé : alors que je recevais une patiente en consultation, j’ai trouvé que les cicatrices que je lui avait faites étaient vraiment bluffantes, pour soudain me rappeler que j’avais testé, à sa demande, le laser lors de son intervention ! ​​Pour en savoir plus sur laser Urgotouch : https://www.youtube.com/watch?v=3Dr9exBmH0U&feature=youtu.be

Exemples de résultats comparés par patiente avec et sans traitement laser post-opératoire de la cicatrice (source UrgoTouch, étude réalisée sur 40 patientes dans le service de Chirurgie plastique et réparatrice de l’Hôpital de la Conception à Marseille dirigé par le Professeur Casanova)